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12 novembre 2014

Une conférence avec la coalition d'ONG œuvrant en territoires Palestiniens occupés, a eu lieu à l'Assemblée Nationale

Inquiètes des dernières évolutions dans les territoires palestiniens occupés, tant à Gaza qu'en Cisjordanie, les associations humanitaires et de droits de l'homme engagées sur le terrain ont souhaité venir en France pour informer les parlementaires français et alerter l'opinion publique.

A l'invitation d'André Chassaigne (Président du groupe GDR et porte-parole des député-e-s Front de gauche), et en présence de Marie-George Buffet (députée Front de gauche et ancienne Ministre) et Michelle Demessine (sénatrice CRC), une conférence avec la coalition d'ONG œuvrant en territoires Palestiniens occupés, a eu lieu ce matin à l'Assemblée nationale.

Les acteurs de terrain ont ainsi pu témoigner de leur expérience.
Etaient présents :
 
  • Alejandra Garcia Paton, Médecins du Monde ;
  • Camilla Corradin, Première Urgence – Aide Médicale Internationale ;
  • Marya Farah, Al Haq ; 
  • Kareem Joubran, B’Tselem ; 
  • Ziv Stahl, Yesh Din ;
  • Johanna Von Toggenburg, EWASH ; 
  • Safwat Ibraghith, Premier Conseiller de la Mission de Palestine en France ;
  • Noha Rashmawi, chef de cabinet à la Mission de Palestine en France.
 

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Ce qu'Emma n'a pas pu dire devant François Hollande

En déplacement dans le Pas-de-Calais pour commémorer l’armistice du 11 novembre 1918, François Hollande n’aura pas entendu la parole vraie d’Emma, mais un discours imposé à la lycéenne.

 

A lire sur L'Humanité : exclusif-ce-quemma-na-pas-pu-dire-devant-francois-holland...

26 octobre 2014

Fenwal : ne pas permettre l'irréparable, assurer la pérennité du site et de ses emplois

Communiqué des communistes de l'Indre en date du 25/ 10/2014

Avec 461 salariés temps plein auxquels s’ajoutent plusieurs dizaines d'intérimaires, la société Fenwal est l'entreprise la plus importante de la communauté de communes (CDC) de La Châtre Sainte-Sévère. Une CDC présentée, voici peu, comme un pays au dynamisme indéniable.
Il n’empêche, sans que cela fasse grand bruit, on apprenait début octobre que la perte d'un client canadien aurait conduit Fenwal à recourir à des journées non travaillées mais néanmoins payées pour une partie du personnel. Il était alors indiqué que le budget 2015, attendu fin octobre devait permettre d'y voir plus clair sur l'avenir de l'entreprise. Moins de quinze jours plus tard la nouvelle tombait : 338 licenciements étaient programmés dans les mois à venir sur le site de productions de Lacs, soit près de 75% de l’effectif total (sans parler des emplois induits).       
Aujourd’hui, cette annonce du licenciement collectif tout comme le motif invoqué, sont perçus comme injuste et infondé de la part du personnel, qui vient de constituer un collectif de défense.

Il a entièrement raison et son combat est des plus légitimes!

Réunis ce jour en assemblée départementale, les communistes de l’Indre saluent cette imitative et la soutiennent pleinement.
En effet, expliquer que la défection d’un client, représentant à peine 10% du chiffre d’affaires de la société, pourrait être à l’origine d’une amputation des 2/3 du personnel du site de Lacs relève tout simplement de la provocation !
 
Il serait plus juste de dire qu’en rachetant Fenwal, en 2012, la multinationale allemande FRESENIUS KABI (130 000 salariés, 60 usines, 15 milliards de chiffre d'affaires en 2010 selon le quotidien l’Usine Nouvelle) s’est débarrassé d’un concurrent gênant et entend aujourd’hui le restructurer en se servant de l’emploi comme d’une variable d’ajustement.
Il s’agit en l’occurrence d’un objectif déterminé à seule fin de mieux servir les intérêts des actionnaires de la multinationale.
 
C’est cette politique que les communistes dénoncent, précisant qu’il est du devoir de toutes celles et ceux qui se disent pour le maintien local du site Fenwal d’exiger un moratoire sur les licenciements pour aller ensuite vers la mise en place d’une table ronde, regroupant les représentants des salariés, des élus locaux, de l’État, de la direction du groupe décideur, afin d’examiner en toute transparence les conditions à même d’assurer la pérennité du site et de ses emplois.