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29 janvier 2015

C’était pop, c’était club, c’était José Artur

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L’une des voix les plus emblématiques de la radio du service public s’est éteinte, samedi, à quatre-vingt-sept ans. Avec son compère Claude Villers, ils ont présenté les spectacles de la grande scène de la Fête de l’Humanité.

 

Après la mort de Jacques Chancel, il y a quelques semaines à peine, voici celle de José Artur. ­Pendant quarante ans, il fut une des belles voix de la nuit, une voix pleine d’étoiles, une de ces voix chaleureuses et espiègles qui savait piquer la curiosité de l’auditeur, invitant en studio, puis plus tard au Fouquet’s, toute une pléiade d’artistes, de saltimbanques, d’acteurs, de metteurs en scène, de ­cinéastes, d’écrivains, de poètes, de ­musiciens, d’hommes politiques aussi, pour parler création, refaire ou défaire le monde selon l’heure et l’envie. Le Pop Club était devenu un rendez-vous incontournable, laissant à l’auditeur la liberté de l’écouter jusqu’à plus soif, d’éclater de rire au fond de son lit, de s’endormir un peu plus intelligent, bercé par les échanges vifs et salutaires qui circulaient en roue libre parmi les nombreux invités qui se bousculaient au portillon.

 

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