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30 janvier 2015

Un chemin de faire

L’assemblage

A la rencontre des œuvriers de l’industrie ferroviaire sur le site Bombardier de Crespin (Nord)

2 minutes d’arrêt

Entrée en gare de la Ciotat 1895-2014

La déconstruction

Visite des Ateliers SNCF du Mans où sont démantelés les trains radiés.

 

A suivre : http://chemindefaire.humanite.fr/

Permis de conduire : les députés du Front de Gauche se félicitent du recul du gouvernement

 

Attachés au service public et à la gratuité des épreuves d’examen du permis de conduire, les députés du Front de Gauche se sont opposés en séance aux mesures de privatisation proposées par le ministre de l’économie, Emmanuel Macron.

En séance publique, ce matin, le président du groupe, André CHASSAIGNE, a vivement critiqué le texte du gouvernement, estimant que « le gouvernement tirait prétexte de l’objectif partagé de réduction des délais d’examen pour ouvrir un nouveau marché aux intérêts privés et faire reculer l’Etat et le service public. »

Les députés du Front de Gauche ont fait valoir qu’un tel transfert ne se traduirait pas par une réduction du coût du permis et ont invité le gouvernement à explorer d’autres pistes pour réduire les délais de passage des examens, comme le recrutement d’inspecteurs et la réorganisation de leurs missions.

Les députés du Front de Gauche saluent donc les ajustements proposés en fin de matinée et le revirement opéré par le gouvernement, qui a adopté une position de sagesse en renonçant à recourir à des organismes privés.

Si ce revirement traduit les tensions au sein de la majorité et du gouvernement, il permet de sauvegarder les garanties qu’apporte le service public en termes de fiabilité, de sécurité et de gratuité.

29 janvier 2015

C’était pop, c’était club, c’était José Artur

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L’une des voix les plus emblématiques de la radio du service public s’est éteinte, samedi, à quatre-vingt-sept ans. Avec son compère Claude Villers, ils ont présenté les spectacles de la grande scène de la Fête de l’Humanité.

 

Après la mort de Jacques Chancel, il y a quelques semaines à peine, voici celle de José Artur. ­Pendant quarante ans, il fut une des belles voix de la nuit, une voix pleine d’étoiles, une de ces voix chaleureuses et espiègles qui savait piquer la curiosité de l’auditeur, invitant en studio, puis plus tard au Fouquet’s, toute une pléiade d’artistes, de saltimbanques, d’acteurs, de metteurs en scène, de ­cinéastes, d’écrivains, de poètes, de ­musiciens, d’hommes politiques aussi, pour parler création, refaire ou défaire le monde selon l’heure et l’envie. Le Pop Club était devenu un rendez-vous incontournable, laissant à l’auditeur la liberté de l’écouter jusqu’à plus soif, d’éclater de rire au fond de son lit, de s’endormir un peu plus intelligent, bercé par les échanges vifs et salutaires qui circulaient en roue libre parmi les nombreux invités qui se bousculaient au portillon.

 

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