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29 janvier 2015

C’était pop, c’était club, c’était José Artur

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L’une des voix les plus emblématiques de la radio du service public s’est éteinte, samedi, à quatre-vingt-sept ans. Avec son compère Claude Villers, ils ont présenté les spectacles de la grande scène de la Fête de l’Humanité.

 

Après la mort de Jacques Chancel, il y a quelques semaines à peine, voici celle de José Artur. ­Pendant quarante ans, il fut une des belles voix de la nuit, une voix pleine d’étoiles, une de ces voix chaleureuses et espiègles qui savait piquer la curiosité de l’auditeur, invitant en studio, puis plus tard au Fouquet’s, toute une pléiade d’artistes, de saltimbanques, d’acteurs, de metteurs en scène, de ­cinéastes, d’écrivains, de poètes, de ­musiciens, d’hommes politiques aussi, pour parler création, refaire ou défaire le monde selon l’heure et l’envie. Le Pop Club était devenu un rendez-vous incontournable, laissant à l’auditeur la liberté de l’écouter jusqu’à plus soif, d’éclater de rire au fond de son lit, de s’endormir un peu plus intelligent, bercé par les échanges vifs et salutaires qui circulaient en roue libre parmi les nombreux invités qui se bousculaient au portillon.

 

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Une logique de métropolisation et de régionalisation est en marche

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Nouvelle organisation territoriale de la République : explication de vote
Par Christian Favier / 27 janvier 2015

Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le secrétaire d’État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, nous voici parvenus au terme d’un long débat parlementaire sur un sujet essentiel pour l’avenir de notre pays. Je veux saluer à mon tour le travail et la disponibilité de notre rapporteur Jean-Jacques Hyest.

M. Éric Doligé. Très bien !

M. Christian Favier. Si ce débat avait bien commencé – de nombreuses auditions ont été organisées –, sa préparation a ensuite été affectée par la précipitation entre le travail de la commission et le dépôt des amendements sur son texte. Puis, l’organisation des débats a été perturbée par la longue coupure entre la discussion générale et nos discussions sur les amendements.

Enfin, il est dommageable que la richesse de nos échanges ne puisse trouver sa traduction dans les explications de vote, du fait de l’organisation de ce scrutin public dans des conditions inédites, ne permettant qu’une seule intervention par groupe.

 

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Refusons l’ouverture à la concurrence de la filière du sang

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Dictée par l’Union Européenne, et suite à la pression exercée par les lobbys pharmaceutiques, la France ouvre son marché des produits dérivés du sang à la concurrence. Ainsi, le laboratoire suisse Octapharma, après des mois de bataille juridique, obtient gain de cause : il pourra vendre en France des médicaments dérivés du sang.

Les conséquences pour l’EFS sont désastreuses : le site de Bordeaux cessera sa production de plasma SD au 31 janvier 2015, et, plus généralement, le besoin en sang étant réduit par l’importation de produits fabriqués à l’étranger, c’est toute l’organisation de la collecte qui se trouve remise en cause. 1 000 emplois seraient à terme menacés.
Au-delà de ces conséquences, terribles, sur l’emploi, l’ouverture à la concurrence est néfaste pour 3 raisons.

 

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