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19 novembre 2014

Affichettes

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18 novembre 2014

Mobilisation contre l’austérité - Conférence de presse du 15 Novembre 2014

Le Collectif Alternative A l’Austérité est né à l’issu de la marche du 12 avril 2014 « ça suffit marchons contre l’austérité ».

Son ambition, riposter à l’austérité, mais aussi réfléchir à des propositions alternatives à l’austérité et communes au plus grand nombre.
 
Ce collectif est composé de nombreuses organisations du mouvement social et associatif, FSU, Fédération et Union Départementale, Locales de la CGT, Union Syndicale Solidaire, DAL, association de chômeurs, féministes … des organisations politiques du Front de Gauche, du NPA, de militants d’EE les Verts, et de nombreuses personnalités.
 
Depuis hier, à travers tout le département, à Châteauroux, Issoudun, La Châtre, Saint Gaultier, Argenton, Le Blanc les militants du Collectif 3A ont multiplié les initiatives contre l’austérité.
 
Cette journée de mobilisation s’inscrit dans une journée nationale de mobilisation contre l’austérité.
 
Notre pays s’enfonce dans la crise avec son cortège de misère, de chômage, de précarité, de violentes divisions.
 
Depuis des années la droite et, depuis 2012, François Hollande, les gouvernements Ayrault et Valls poursuivent le même but dans le cadre des traités européens et en accord avec les dirigeants de l’Europe libérale :

-       austérité,

-       compétitivité par la baisse du coût du travail,

-       reculs sociaux,

-       coupes sombres dans les dépenses publiques le tout adossé à une politique productiviste qui aggrave la crise environnementale.

Dans l’Indre le chômage atteint des sommets avec près de 20 000 demandeurs d’emplois.
La casse de l’emploi, notamment industriel, s’y poursuit à un rythme accéléré.
 
Ainsi, après la liquidation de la Seita, de la confection (+ de 8 000 emplois dans les années 80), la liste des pertes d’emplois a continué à s’allonger avec Berry-Tuft, Berry-Tapis, Auga, Eurostyle, Rencast, Garnier, Jacquelin, Simade, Safig, Parqueterie Berrichonne, Mead-Westvaco,Yara, Champignonnières de Villentrois, SEIC, Seron, Sitram, Area Franceram, Le Flockage, Andritz, Sogefi, Devin SA …
 
Aujourd’hui, des menaces pèsent sur plus de 800 emplois
  • près de 400 emplois chez F2R
  • et 460 chez Fenwal.
Le secteur public trinque aussi.
  • Fermeture de classes, de bureaux de Poste,
  • Les suppressions d’emplois dans le secteur hospitalier sont des mesures devenues courantes.
A cela s’ajoutent des amputations de services et de postes dans  beaucoup d’autres secteurs du public :
  • Dissolution du 517e régiment du Train,
  • Amputation de services dans la justice, la gendarmerie, la police nationale, les collectivités territoriales etc.
Et que dire des diminutions des dotations et subventions aux communes, au mouvement associatif, qui ainsi privés de moyens ne peuvent plus répondre aux besoins des populations.
L’Indre c’est également le département où le taux de pauvreté - 14,10% - de la population est le plus fort de toute la région Centre.
 
C’est aussi le territoire :
  • où la moyenne des salaires est inférieure de 9% à celle de la région Centre et moins 18% à celle de la France.
  • ou la grande majorité des pensions et retraites sont en dessous de 1.000 euros par mois
Ces politiques sont inefficaces, partout en France et en Europe elles ont échoué.
Elles nourrissent la crise, creusent les inégalités, les déficits, accentuent la dette…
Aujourd’hui, le gouvernement Walls Hollande  veut aller encore plus loin.
Après les milliards de cadeaux au patronat dans le cadre des « pactes » de compétitivité et de responsabilité, il annonce des mesures qui s’en prennent grave-ment encore aux salariés, aux retraités, aux jeunes, aux chômeurs, aux femmes.
Pour financer les cadeaux faits aux actionnaires, il faut en effet bien prendre l’argent quelque part !
 
C’est sur la majorité de la population que pèseront les 21 milliards d’économies annoncés dans le budget 2015 :

-       9,6 milliards pour la Sécurité sociale,

-       7,7 milliards pour la réduction des services publics

-       3,7 pour réduire l’action des collectivités locales.

Il faut stopper cet engrenage !

Les députés qui ont été élus, l’ont été pour faire une politique inverse de celle de Nicolas Sarkozy, ils doivent respecter le mandat que le peuple leur a confié.
 
Ils ne doivent plus adopter des budgets libéraux qui répondent aux seules exigences du MEDEF et de la Commission Européenne.
 
Nombre d’entre eux ont déjà fait le choix de ne plus approuver ces budgets libéraux, en s’abstenant, c’est bien, mais aujourd’hui, ils ne peuvent plus rester au milieu du gué ils doivent clairement rejeter ces budgets.
 
D’autres choix sont possibles.
Nous ne sommes pas condamnés à l’austérité permanente et à l’insécurité sociale.
 
Il faut mettre en œuvre une politique qui parte des besoins sociaux, s’attaque aux inégalités.
 
Or à longueur de journée, de semaine, nous nous entendons dire qu'il y a la dette, qu’il n'y a plus d'argent !
 
Qu’en est-il exactement ?
  • La fraude et l'évasion fiscale sont évaluées entre 60 et 80 Milliards d'euros par an.
  • La fraude c’est aussi les cotisations sociales non payé par les entreprises qui a presque doublé en 8 ans pour atteindre entre 20 et 24 milliards d’euros selon l’INSEE.
  • Depuis 20 ans, le cumul des exonérations sociales patronales s'élève à 300 milliards d'euros.
  • En France 300 milliards d’euros sont versés chaque année en dividendes et intérêts d'emprunts.
  • Les 500 plus grandes fortunes françaises ont vu leur patrimoine augmenter de 120 Milliards d'euros en 18 mois.

 

A noter que l’Indre est le département qui, en France & Outre-mer, se place en tête du peloton, arrivant au 5ème rang pour le versement de l‘impôt sur les grandes fortunes.
 
Il existe donc bien, en France, en Europe et dans le monde, des ressources financières à mobiliser.

C'est cela l'enjeu !

Plus que jamais il est nécessaire d'impulser une véritable réforme fiscale, mettant à contribution de manière égale toutes les richesses créées.
Ainsi, nous dégagerons des milliards, que nous mobiliserons au service des populations et des territoires.
 
Avec le Collectif Alternatif A l’Austérité, dans un esprit tout à la fois de responsabilité, d'ouverture et de rassemblement, nous nous mettons au service de celles et ceux qui souhaitent construire un autre chemin.
 
C'est la condition de la réussite, pour rendre majoritaires des propositions alternatives à une austérité qui ne s’impose pas !
 
C'est la condition pour donner à nouveau de l'espoir !

17 novembre 2014

Contre le budget d'austérité de VALLS-HOLLANDE, Contre les cadeaux au MEDEF

Pour une alternative à la politique gouvernementale

La coupe est pleine !

Le pays s’enfonce dans la crise avec son cortège de misère, de chômage, de précarité, de violentes divisions. Depuis des années la droite et, depuis 2012, François Hollande, les gouvernements Ayrault et Valls poursuivent le même but dans le cadre des traités européens et en accord avec les dirigeants de l’Europe libérale : austérité, compétitivité par la baisse du coût du travail, reculs sociaux, coupes claires dans les dépenses publiques le tout adossé à une politique productiviste qui aggrave la crise environnementale. Ces politiques ont échoué partout en Europe comme elles échouent en France : elles nourrissent la crise, creusent tout à la fois les inégalités et les déficits.
Aujourd’hui, ils veulent aller toujours plus loin. Après les milliards de cadeaux au patronat dans le cadre des « pactes » de compétitivité et de responsabilité, le gouvernement annonce des mesures qui s’en prennent gravement encore aux salarié-e-s, aux retraité-e-s, aux jeunes, aux chômeurse-s, et d’abord aux femmes.
Pour financer les cadeaux faits aux actionnaires, il faut en effet bien prendre l’argent quelque part ! C’est sur la majorité de la population que pèseront les 21 milliards d’économies annoncés dans le budget 2015 : 9,6 milliards pour la Sécurité sociale, 7,7 milliards pour la réduction des services publics et 3,7 pour réduire l’action des collectivités locales.

Il faut stopper cet engrenage ! A l’Assemblée Nationale, le gouvernement ne dispose plus que d’une majorité fragile.

Les députés qui ont été élus pour faire une politique inverse de celle de Nicolas Sarkozy doivent respecter le mandat que le peuple leur a confié. Ils ne doivent pas adopter dans les jours qui viennent un budget libéral qui répond aux exigences du MEDEF et de la Commission Européenne, pas aux besoins de la population et à l’intérêt général.
Nous disons que d’autres choix sont possibles. Nous ne sommes pas condamnés à l’austérité permanente et à l’insécurité sociale. Il faut mettre en œuvre une politique qui parte des besoins sociaux, s’attaque aux inégalités. Une réforme fiscale d’ampleur permettrait une redistribution des richesses et une relance des investissements productifs au bénéfice de la grande masse de la population, s’inscrivant dans la transition écologique.
Il faut redonner du pouvoir d’achat, augmenter les salaires, créer des emplois. Il faut créer les moyens d’une véritable reconquête industrielle. Il est nécessaire de financer les besoins en matière de recherche, d’éducation, de santé ou encore de logement. Pour cela, il faut s’attaquer au capital, à la finance, à la rente des actionnaires qui est supportée par les salarié-es, les chômeurs, les précaires, les retraités et la jeunesse.
Des résistances, des luttes se mènent déjà contre les conséquences de cette politique. Il faut élever la mobilisation des salarié-es, l’intervention des citoyens et citoyennes pour mettre un coup d’arrêt aux politiques en cours, imposer d’autres choix.

Pour dire NON au budget d'autorité du Gouvernement VALLS et appeler à ce qu'il soit rejet !

Pour dire NON aux exigences du MEDEF !

Pour rassembler et construire une alternative à la politique actuelle !

Dans l’Indre aussi l’austérité flambe

  • Le chômage atteint des sommets dans l’Indre avec près de 20 000 demandeurs d’emplois.
  •  La casse de l’emploi, notamment industriel, se poursuit à un rythme accéléré.

Après la liquidation de la Seita, de la confection (+ de 8.000 emplois dans les années 80), la liste des pertes d’emplois a continué à s’allonger avec Berry-Tuft, Berry-Tapis, Auga, Eurostyle, Rencast, Garnier, Jacquelin, Simade, Safig, Parqueterie Berrichonne, Mead-Westvaco,Yara, Champignonnières de Villentrois, SEIC, Seron, Sitram, Area Franceram, Le Flockage, Andritz, Sogefi, Devin SA… Aujourd’hui, les menaces qui pèsent sur F2R (près de 400 emplois) et Fenwal (460) ne poussent pas à l’optimisme.

  •  Le secteur public trinque aussi.

Fermeture de classes, de bureaux de Poste, suppression d’emplois dans le secteur hospitalier sont des mesures devenues courantes. A cela s’ajoutent des amputations de services et de postes dans  beaucoup d’autres secteurs du public [dissolution du 517e régiment du Train, amputation de services dans la justice, la gendarmerie, la police nationale, les collectivités territoriales etc.]. Et que dire des diminutions de subventions aux communes, au mouvement associatif, qui ainsi privés de moyens ne peuvent plus répondre comme il se doit aux besoins bien compris de la population !

  •  L’Indre c’est également le département où le taux de pauvreté (14,10% de la population) est le plus fort de toute la région Centre.
  • L’Indre c’est aussi le territoire où la moyenne des salaires est inférieure de 9% à celle de la région Centre et - 18% comparée à celle de la France.

C’est dans l’Indre que la grande majorité des pensions & retraites sont en dessous de 1 000 euros par mois

 A l’inverse,l’Indre c’est le département qui, en France & Outre-mer, se place en tête du peloton, arrivant au 5ème rang pour le versement de l‘impôt sur les grandes fortunes.

 Ni la politique du gouvernement Sarkozy-Fillon, Pas plus que celle de Hollande-Valls, Encore moins celle prônée par Marine Le Pen et ses acolytes représentent de réelles alternatives.

 Par contre,aujourd’hui dans l’Indre, comme en France et en Europe, s’impose une autre politique qui, basée sur l’intervention citoyenne, sera seule à même de promouvoir des mesures de progrès social, économique, écologique, démocratique.

Faites entendre votre voix, rejoignez le collectif AAA (Alternative A l’Austérité)